Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les visiteurs. Elle restait enfermée dans son manufacture, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, suivant les formules d'autrefois avec suspicion. Les flacons contenant les permis tristes étaient soigneusement étiquetés et rangés à l’écart, dans un https://arthursyzab.csublogs.com/41254868/l-accord-inspiré