À poésie que les marées se succédaient, le rythme du rocher changeait imperceptiblement. Ce qui n’était au début qu’un battement assidu devenait une série de pulsations asymétriques, comme si le rocher répondait à bien une force intérieure plus qu’aux déplacements de l’océan. Le musicien enregistrait chaque session avec une minutie https://simonbmvci.ageeksblog.com/33075640/les-tambours-de-la-falaise