La mer s’étendait à dol de vue, beaucoup mouvante d’ombres et de reflets argentés marqué par la lumiere froide de séléné. Le navire fendait les vagues avec une lenteur diverse, son équipage silencieux par-dessous l’immensité dans le ciel. À la proue, le capitaine observait les pléiade, recherchant dans leur agencement https://ricardoaffeb.ttblogs.com/13536037/la-foule-du-marin-égaré